Votre Personnage :
Nom : Morio
Prénom : Allen
Age : 19ans
Races : Il se dit humain mais sa vitesse et ses reflex plutôt hors du commun laisse croire le contraire, il n'y a donc pas de certitude quand a ses origines.
Description physique : Allen est un grand gaillard qui a très certainement dépassé le mettre 85, cependant il n'est guère plus épais qu'un lampadaire. Ses cheveux avaient la couleur du blé il n'y a pas si longtemps, avent qu'il n'arrive dans cette ville, depuis la folie le ronge et ses cheveux se sont ternis en un pâle blond rayé de mèche blanchâtre, ils partent en épis désorganisés et lui tombe jusqu'aux épaules et une tresse dépasse sur le coté. Ses yeux vairons cependant sont d'origine, l'un est noir et profond comme une nuit sans étoile tendis que l'autre est d'un bleu foudroyant. Dire qu'Allen est pâle serai un euphémisme, les morts on meilleur mine que lui, cependant un sourire moqueur o lèvres rouge sang est constamment figé sur son visage tel une cicatrice sanguinolente sous laquelle on peut voir un petit bouc blanc.
En ce qui concerne le vestimentaire Allen n'est pas très difficile, du moment qu'il on l'odeur du sang tout les habits lui plaisent. Cependant il ne se sépare jamais de la bague de son beau-père, un anneau d'argent noircis par le temps sertis d'un rubis rond.
Description mentale : Allen n'est pas dans ce pensionnat pour rien! Il y a même de forte chance pour qu'il soit le pire des membres. Il est extrêmement intelligent, rusé mais c'est sans aucun doute le plus vicieux, sadique et pervers que la terre n'a jamais enfanté. Mais se n'est pas particulièrement un assassin, sauf lorsque les circonstances l'impose, son plaisir c'est faire sombrer les autres dans la folie dans laquelle il est tombé. Il n'est pas des plus bavards, ne cherchant jamais a parler pour ne rien dire et n'ayant que rarement de choses utile a raconter il préfère le silence.
Que dire de plus... si il y a bien un truc pour lequel il tuerait sans hésitation, et pour lequel il à déjà tué, c'est le chocolat noir! C'est bien plus qu'une drogue pour lui, c'est quasiment vital. Quoi d'autre? Il ne fait jamais de promesse a la légère et respecte toujours ses engagement, qu'il donne très rarement d'ailleurs!
Histoire, Passé, Pourquoi avez-vous atterri ici ? C’était à l’aube. Un paysan commençait à moissonner son champ de blé quand il entendit un petit cri étouffé. Il avança prudemment dans son champ à la recherche de la source de ce bruit. C’était un bébé, enroulé dans ses couvertures, étendu au milieu des épis de blé. L’homme se baissa et prit l’enfant dans ses bras. Ce dernier ouvra des grands yeux sur le paysan qui venait de le ramasser, l’air de se demander qui le dérangeait alors qu’il allait se rendormir. L’homme fut surpris par ce regard : l’un des yeux de l’enfant était plus noir qu’une nuit sans étoiles et l’autre était d’un bleu électrique. A ce regard déjà déstabilisant, s’ajoutait une petite touffe de cheveux aussi blond que les blés tout autour. L’homme en oublia son travail et ramena l’étrange enfant auprès de sa femme, dans sa petite ferme. Quelle ne fut pas la surprise de la femme en voyant son mari revenir si tôt et avec un bébé dans les bras ! Quand elle le vit, quand elle le prit dans ses bras, ce fut presque le coup de foudre pour elle qui avait toujours voulu un enfant sans pouvoir en avoir… Mais après l’euphorie du moment vint rapidement la question tristement terre à terre : comment allaient-ils subvenir aux besoins du bébé eux qui avaient déjà du mal à joindre les deux bouts… Mais durant deux belles années, ils purent se débrouiller. L’enfant, Allen, passait son temps dans les champs avec son père adoptifs. Sa belle petite chevelure dorée comme les blés ne dépassant pas les épis. La vie dans la petite ferme était presque utopique… Jusqu’au jour où une tempête frappa la région, détruisant toutes les récoltes sur son passage. Laissant le couple de paysan qui avait recueilli Allen sans rien. Ni réserve, ni argent de côté, pas même de quoi reconstruire la moitié du toit qui s’était effondrée. Ils durent prendre une décision. Celle ci ne les enchantait pas, ils aimaient Allen plus que tout, comme leur propre fils. Aussi ils ne pouvaient pas se résoudre à le laisser mourir de faim et de froid avec eux. Après des adieux inondés par les larmes de la mère, Allen et son père allèrent en ville. Ce dernier abandonna le petit garçon de deux ans devant une église en centre ville. Mais Allen savait marcher et quand il vit son père s’en aller sans lui, n’arrivant pas à le suivre sur ses petites jambes, il se retrouva loin de l’église. Epuisé, affamé, gelé. Des larmes commencèrent à perler aux coins de ses yeux quand des hommes en costard blanc ou noir avec des grosses bagues aux doigts s’arrêtèrent devant lui. Allen s’endormit presque aussitôt que l’un des homme le prit dans ses bras. L’enfant était à bout de force. Quand il se réveilla, il n’était plus en ville, il n’était pas de retour dans sa maison avec ses parents mais dans un bureau chic sur un fauteuil en velours pourpre. Ensuite la vie d’Allen se passa tranquillement. A cinq ans, il a déjà sauté trois classes et le parrain, le boss, était très fier de son protégé. Mais un jour, à la cantine, Allen découvrit le chocolat noir. Et il aima ça. Bien sur il en voulut encore mais dans son école pourrie, personne n’était pédagogue. La cantinière refusa sa demande. Il insista, mais ça réponse était non négociable. Elle envoya bouler le petit garçon qui l’empêchait de retourner à son magasine. Mais Allen était contrarié. Et il avait apprit à ne jamais laisser quelqu’un le contrarié. Il prit le couteau qui avait servi à découper un gâteau et que la vieille morue avait oublier dans sa hâte. Il la suivit. Elle se retourna pour lui dire de ficher le camp mais à peine eut elle ouvert la bouche qu’Allen planta son couteau dans le gros ventre. Elle tomba à genou et il la poignarda encore une fois pour qu’elle comprenne. Il laissa tomber le couteau et s’empara d’une part de gâteau au chocolat. Inutile de dire qu’il fut aussitôt renvoyé de l’école. Mais la mafia, sa famille, se chargea de son éducation. En grandissant, Allen fit preuve d’une immense intelligence et des réflexes incroyables pour un enfant de dix ans. Le boss le fit participer à une sorte de concours pour savoir qui serait son successeur. A 18 ans, après s’être entraîné sans relâche, il réussit toutes les épreuves haut la main et tua tous ses adversaires avec un inquiétant sang froid. Le boss était fier de lui encore une fois. Quand il reçut dans son bureau le jeune homme aux yeux étranges et aux cheveux désormais d’un blond terni pour le féliciter et lui dire qu’il lui succèderait une fois qu’il serait mort, Allen vit rouge. Il le savait pourtant mais une fois arrivé là, il ne voulait pas attendre même s’il serait banni après. Il devait le tuer. Et c’est ce qu’il fit. Il récupéra la bague du boss, signe de sa puissance et ne la quitte plus depuis. Pendant un an, les hommes de la mafia le pourchassèrent. Il réussit toujours à leur échappé mais la vie de cavale était épuisante. Et sa folie devenait un peut trop voyante. Il accepta de se rendre au pensionnat Ketsurui. Ce serait le moyen pour lui de se reposer un peu, de contrôler sa folie et surtout, surtout, de mettre au point un plan pour se débarrasser de cette mafia devenue trop envahissante.
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Pourquoi avoir choisi le forum ? Mmmmh surement parce que je suis un psychopathe dans l'âme!
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